A quoi sert l’Homme sur la terre ? se demande-t-on dans les temps d’anxiété. Un climat de crise fait remonter à la surface les questions fondamentales que pose la présence de l’homme sur la terre. Mais on ne les retrouve plus comme avant : elles ne sont plus les mêmes.
L'étude de la vie prénatale à la lumière de la science de l'esprit montre qu'aucune loi, soit spirituelle, soit naturelle, n'impose à l'homme une « prédestination » à laquelle il ne saurait échapper ; elle montre également que celui-ci n'est nullement soumis aux influences inéluctables des astres, comme voudrait souvent nous le faire croire une « astrologie » aujourd'hui mal comprise.
L’attention au développement du Soi de celui qui conduit une psychothérapie en profondeur naît dès l’époque de Sigmund Freud (1910), et de ses attentes que les candidats à la psychanalyse se soumettent à une analyse personnelle propre, comme faisant partie de leur formation.
Pour une part et dans une certaine mesure, l’anthroposophie aborde la conscience qu’avait l’humanité à une certaine époque, avec ce qu’est devenue cette conscience aujourd’hui, alors même que la conscience d’aujourd’hui n’a/n’est plus la conscience ancienne.
Il est nécessaire d’exposer les différents modes d’attachement sécure et insécure qui apparaissent dans le contexte d’expériences de caregiving (ou soins prodigués) différentes.
L'un des événements les plus regrettables dans l'histoire de la pensée humaine pourrait bien avoir été la fausse interprétation qu'ont fait les premiers penseurs chrétiens de la notion que nous exprimons aujourd'hui par le terme éternité.
Lorsqu’on parle actuellement, devant un public assez nombreux, des questions les plus importantes de notre époque, on se trouve dans une situation différente, selon qu’on ne sait rien des forces profondes du devenir historique mondial - autrement dit, de la science de l’initiation, - ou qu’on en sait quelque chose.
Nous allons aujourd’hui étudier l’homme dans la perspective de sa forme, et voir comment, de ce point de vue, nous pouvons élargir et approfondir ce qui a été l’objet de notre étude ces derniers temps.
La totalité du Zodiaque peut prendre place dans la forme humaine. Mais pour ce faire, il a fallu dessiner la forme de l’embryon ; et nous avons pu ainsi, en suivant cette forme de l’embryon, reproduire le Zodiaque.
Nombreux sont les mythes et les légendes des anciens Égyptiens que les conceptions spiritualistes du monde ont bien connus, et qui se répandent à nouveau, mais dont la tradition historique extérieure ne fait pas mention.
Ce qui suit retrace le contexte historique de l'avènement de la théorie de l'attachement, de ses principales lignes de développement - la Situation étrange de Mary Ainsworth, l’Adult Attachment Interview (AAI) de Mary Main - et des applications thérapeutiques du concept d'attachement. Il donne un aperçu, nécessairement incomplet, des aspects et des polémiques apparus depuis une vingtaine d'années autour de cet extraordinaire progrès scientifique dans le champ de la psychologie du développement, de la psychopathologie et de la thérapie.
La plus ancienne origine recensée remonte au Ve siècle avant Jésus-Christ où Socrate, inventeur de la maïeutique, pourrait être reconnu comme le père du coaching. La maïeutique (art d'accoucher les esprits) est inspirée de l'accouchement (délivrance, délivrer une femme en couches) et désigne une technique consistant à faire s'exprimer les connaissances des personnes.
Ce qui fait marcher l'astrologie, c'est bien l'Humain. « Il n'est de richesses que d'hommes » est une phrase connue de Jean Bodin. Ou comme le disait Saint Martin : « Expliquer les choses par l'Homme, et non l'Homme par les choses ». Nos observations sur le monde renseignent sur nos propres constitutions.
Dans la vie les gens se parlent. Ils ont besoin de se parler, de tout et de rien ou de choses plus importantes. L’échange social commun est la trame même de l’existence sociale et psychologique. Cependant, l’échange est toujours ritualisé, conventionné, institué et réglementé : d’une part il indique la position sociale de chaque partenaire, et d’autre part l’abstinence est de règle.
L’être humain comporte de façon générale quatre éléments constitutifs. Le premier de ces éléments est le corps physique, lequel est entouré du monde physique sensible qui s’offre à nos organes des sens. Nos organes des sens sont directement liés au pôle central de notre système neurosensoriel qu’est le cerveau.
Le malade hystérique souffre de symptômes psychomoteurs, sensoriels ou végétatifs qui correspondent à des conversions de souffrance psychique en souffrance physique.
On doit la théorie de l'attachement au psychiatre anglais John Bowlby (1957), selon lequel le lien mère-enfant revêt une importance capitale. Il a ainsi appréhendé ce lien selon une perspective évolutionniste. Selon Darwin (1859), la survie constitue l'objectif principal d'une espèce. Les caractéristiques de l'espèce qui permettent l'adaptation à l'environnement participent à sa préservation à travers le temps.
La quatrième phase principale de l’évolution humaine se déroule sur la Terre et concerne l’état de conscience actuel de l’homme. Mais avant d’y accéder, lui ainsi que toute la Terre, il eut d’abord à passer par trois petits cycles (« rondes ») répétant ainsi les états saturnien, solaire et lunaire. Actuellement l’être humain vit dans le quatrième cycle terrestre. Il a déjà dépassé le milieu de ce cycle.